La moto Guzzi V7 850 GT d'Albert Castaigne
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La Rédaction

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Lorsqu’il remonte aux sources de sa passion pour la moto, Albert Castaigne se souvient s’être étourdi sur les pissefeux qui peuplaient les pages de Mob Shop, le magazine des ados qui grattaient les cylindres et jouaient du pot de détente. « Moi, j’étais interdit de mob, trop dangereux, donc, je faisais le sac de sable sur les porte-bagages des copains, on cramait du mélange des après-midis entières. » Dans le même temps, Albert met les mains dans la mécanique pour dépanner les potes, de quoi enraciner sa relation avec les deux-roues motorisés.

Il rêve alors de Ducati 851 et 888, Kawasaki 750 Stinger, Guzzi 1100 Daytona, Honda 750 NR, et RC 30, Harley 750 XR... mais c’est chez Voxan, à Issoire, qu’il fait le stage intégré au cursus de son école de commerce, vivant au plus près l’aventure de la moto française. Puis, surfant sur la bulle internet, il crée une start-up avec son frère, Jean-Emmanuel.

C’est pour conjuguer le voyage et la bécane classique qu’Albert s’est tourné vers la Moto Guzzi V7 850 GT, a priori saine, mais pas d’origine. Mal entretenue et mal réparée, elle manquait d’amour.

Côté partie-cycle, on note l’adoption d’amortisseurs Ikon et l’amélioration (ressorts et viscosité) de la fourche. La position de conduite est revue avec une selle monoplace suspendue, élégante et confortable, et un guidon police US bien large.

Pour résumer
de road trips, doublé d’un amateur de motos classiques, qu’il revisite avec goût, à l’image de sa Moto Guzzi 850 GT de 1972 traitée dans un style bagger.
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